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pourla victoirede sarkozy

2 février 2007

Ségolène Royal menace Stéphane Bern


Ségolène Royal menace Stéphane Bern
Vidéo envoyée par paslesroyal
Stéphane Bern raconte, au cours de l'émission de Thierry Ardisson, comment Ségolène Royal a tenté de l'intimider. Pas sympa ! Http://www.paslesroyal.com
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2 février 2007

La vraie Ségolène


La vraie Ségolène
Vidéo envoyée par Alex_45
Vidéo faite de différents événements, interviews et discours de Ségolène Royal, et non de bavures policières sans coordination comme pour le vrai Sarkozy. Regardez la vidéo jusqu'au bout, c'est de plus en plus intéressant. Ce qui frappe, c'est son insouciance, sa légèreté et sa méconnaissance des choses fondamentales. Pour le bien de la France, elle ne doit pas être présidente. Je précise que je ne suis pas affilié à l'UMP ou autre parti politique. Premiers échos dans la presse et sur le net : http://peoplestars.com/menu/news/lesnews.php?news=480 http://www.marianne2007.info/-La-vraie-Segolene-futur-hit-de-Dailymotion-_a652.html?voir_commentaire=oui http://www.paslesroyal.com/La-vraie-Segolene Liens d'utilité publique : - http://www.segomadit.fr - http://www.desirsdevent.com - http://www.paslesroyal.com - http://desirsdavenir.over-blog.com/
2 février 2007

Nicolas Sarkozy rend hommage à Tony Blair

Candidat_sarkozy_5 Nicolas Sarkozy a rendu hommage au Premier ministre britannique, Tony Blair, au point d'en faire, le temps d'un lapsus, un membre de sa propre famille politique.

"La façon dont il a conduit la Grande-Bretagne avec la résolution du problème de l'Irlande du Nord, le plein emploi, la modernisation du pays, c'est quelque chose qui doit nous faire réfléchir", a déclaré le candidat UMP à la présidentielle après un déjeuner au 10 Downing Street.

"Il ne s'agit pas de plaquer un modèle qui n'est pas le nôtre. Mais en même temps, Tony Blair est un homme dont le pragmatisme a été très utile à son pays", a-t-il ajouté.

"Les socialistes européens devraient être fiers de ce qu'a fait l'un des nôtres", a-t-il poursuivi avant de rectifier : "l'un des leurs."

http://fr.news.yahoo.com/30012007/290/nicolas-sarkozy-rend-hommage-a-tony-blair.html

2 février 2007

De Villepin donne un satisfecit à Nicolas Sarkozy et critique les pleurnicheries de la gauche

Dominique de Villepin a éprouvé sans retenue sa "liberté" dans le débat électoral en fustigeant les "pleurnicheries" de la gauche, les "polémiques déplacées", et en livrant son mode d'emploi du candidat idoine.

En Premier ministre "décomplexé", il a décerné un satisfecit à Nicolas Sarkozy et à "sa famille politique", "au rendez-vous" des idées "tranquillement, sereinement", tout en laissant poindre sous ce positivisme la frustration du non-candidat.

Dominique de Villepin a défendu contre les attaques de la gauche le statut de ministre-candidat du président de l'UMP, jugeant qu'il était "tenable" dans le respect "du travail et de la réserve" incombant à un membre du gouvernement.

Saluant à deux reprises la campagne du candidat de l'UMP, le chef du gouvernement s'est acquitté de la figure imposée due à son camp, mais il n'en a pas moins décliné sa partition, fidèle à son engagement - celui de participer "en toute liberté" à la campagne présidentielle.

Dans sa ligne de mire : le "lamento" des "déclinologues" qui a "suffisamment parfumé notre environnement", les "jérémiades" de la gauche, le "folklore politique" des polémiques.

"La politique, ce n'est pas détruire et garder les yeux rivés sur le passé, c'est construire et s'ouvrir sur les solutions d'avenir", a-t-il lancé à l'adresse de la gauche.

"On peut continuer à avancer avec un sac de cendres sur la tête, à se battre la coulpe, à se dire 'nous sommes les plus mauvais', alors que partout sur la scène internationale nous marquons des points", a-t-il poursuivi, critiquant en creux l'absence de perspectives, selon lui, du projet socialiste.

"C'est toute l'histoire de la campagne. Je suis heureux de voir que ma famille politique, elle est à ce rendez-vous, tranquillement, sereinement. Elle apporte ses idées, sa contribution. Nicolas Sarkozy le fait aujourd'hui très clairement dans le domaine du travail", a-t-il estimé.

Une campagne, a-t-il martelé, "cela demande des propositions, de l'imagination, de la générosité au-delà de la lamentation, des pleurnicheries et des jérémiades dont je peux vous dire qu'un certain nombre de nos compatriotes - et je ne suis pas prophète - commencent à avoir assez". 

Sans jamais nommer Ségolène Royal, Dominique de Villepin a implicitement reproché à la candidate socialiste de "masquer" sous les polémiques "la vacuité des intentions et des propositions" de son camp.

"Je ne crois pas qu'une campagne s'enrichisse d'une quelconque manière de ce type de polémiques", a-t-il dit à propos de l'"affaire Bruno Rebelle" et du canular téléphonique dont Ségolène Royal a été la cible la semaine dernière.

Dominique de Villepin, qui juge sa "responsabilité centrale" à l'aune des échéances électorales, assure détenir l'alternative à ce "folklore politique" qui "fait le jeu des extrêmes". Pas candidat, mais éclaireur.

"Si certains ressentent un certain flottement et un certain décalage aujourd'hui dans la vie politique - certains pensent même dans certaines campagnes - , c'est tout simplement qu'une campagne doit s'appuyer sur un diagnostic", a-t-il expliqué.

"C'est un scoop de campagne : les choses vont mieux dans notre pays (...) et les Français veulent savoir comment elles pourront aller encore mieux, c'est la vraie question de la campagne", a précisé celui qui fut l'un des stratèges des campagnes chiraquiennes de 1995 et 2002.

"Cela suppose une certaine forme non pas d'optimisme, mais d'énergie. (...) C'est cela que les Français veulent voir dans la campagne électorale, de l'énergie, des hommes et des femmes capables de s'engager, de penser l'avenir, d'aimer leur pays au point de faire des propositions crédibles".

Le descriptif sonnait comme un "Autoportrait en candidat" du Premier ministre, qui n'a pas eu à répondre mardi à la question rituelle, désormais semble-t-il sans fondement, sur ses ambitions élyséennes.

"L'objectif que je me fixe comme Premier ministre, c'est de faire en sorte que cette campagne puisse le plus possible être ancrée dans la réalité des choses, dans la réalité des choix", a-t-il confié.

"Je souhaite que les Français puissent faire un choix serein et pas un choix négatif par défaut, par dépit, par colère", a-t-il ajouté, marquant sa volonté de crever la "bulle de frustration, de colère, de haine" "qui se constitue malheureusement trop souvent dans les démocraties".

http://fr.news.yahoo.com/30012007/290/a-defaut-d-etre-candidat-villepin-veut-jouer-les-eclaireurs.html

2 février 2007

Scooter du fils de Nicolas Sarkozy

Une certaine presse "bien pensante", des lecteurs bien "tolérants", un candidat en quête d'identité sont scandalisés sur les moyens utilisés par les forces de police pour retrouver les auteurs du vol d'un scooter appartenant au fils de Monsieur Nicolas Sarkozy.

Rappelons brièvement les faits : Un scooter appartenant au fils du Ministre de l'Intérieur est dérobé devant le domicile de la mère. Ce scooter n'avait pas d'antivol et n'était pas assuré.

Le 07 Janvier 2007, une plainte pour vol est déposée au commissariat de police.

Quelques jours plus tard, le sccoter est retrouvé par hasard, par les forces de police, sur un parking en Seine Saint Denis.

La police, pour rechercher les auteurs du vol, vont alors déployer des moyens exceptionnels : relevé d'empreintes et d'adn.

Ces moyens exceptionnels permettront de retrouver rapidement les auteurs du vol.

Personnellement, je trouve que ce scandale est une tempête dans un verre d'eau.

Il est vrai que les forces de police ont utilisé des moyens exceptionnels sans commune mesure pour retrouver les auteurs du vol.

Il est vrai que ces moyens ont été utilisés parce que c'est le fils du Ministre de l'Intérieur et qu'ils n'auraient pas été utilisés pour d'autres vols de véhicules.

Mais ce que je trouve scandaleux dans ce procès d'intention, c'est que si cela ces moyens exceptionnels avaient été pour retrouver les auteurs du vol d'un scooter appartenant au fils d'un Ministre de l'Intérieur de gauche ou du candidat qui est scandalisé, personne n'aurait crié au scandale.

De plus, le fils de Monsieur Nicolas Sarkozy n'utilise pas des passes droits de l'Etat pour des besoins personnels. Il porte plainte auprès du commissariat de police et c'est la police qui effectue des dilgences pour retrouver les auteurs d'un délit et non pas pour satisfaire les besoins d'un fils d'un ministre.

Je dis bravo Monsieur le Ministre d'avoir retrouvé aussi rapidement les auteurs du vol du scooter de votre fils et j'espère que cela permettra de donner un avertissement à tous ces délinquants qui se croient tout permis.

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2 février 2007

De Villepin : Rien ne justifie les polémiques sur le maintien de Nicolas Sarkozy au sein du gouvernement

Dominique de Villepin a estimé que "rien ne justifie les polémiques" sur le maintien au gouvernement de Nicolas Sarkozy, candidat UMP à la présidentielle, tout en reconnaissant que le cumul des fonctions pouvait "impliquer des tâtonnements"."Tout est une question d'équilibre de mesure, cela peut impliquer ici et là des tâtonnements, cela ne justifie en rien des polémiques", a déclaré le Premier ministre lors de sa conférence de presse mensuelle.

"Ma conviction, c'est que tout est tenable à condition que chacun fasse preuve d'exigence et de bonne volonté", a-t-il poursuivi, soulignant l'avoir "rappelé au cours du séminaire gouvernemental hier (lundi), avec le souci de bien montrer l'exigence qui est posée à un membre du gouvernement de travail et de réserve dans certaines situations".

"Je crois qu'au fil de la campagne nous aurons d'autres règles à prévoir, j'ai évoqué, notamment avec Nicolas Sarkozy, la volonté qui était la mienne de voir les ministres respecter leurs compétences et participer certes à la campagne parce que c'est aussi leur responsabilité d'homme politique mais le faire avec la vigilance et l'exigence qui sied à un membre du gouvernement", a souligné M. de Villepin.

S'affirmant "comptable devant les Français, comptable devant la démocratie" du respect de ces "exigences", il a toutefois estimé que "les polémiques, elles sont là et elles sont parfois malheureusement inévitables".

Outre M. Sarkozy, qui a affirmé qu'il quitterait son ministère "quelques semaines" avant le scrutin présidentiel, le ministre de la Santé Xavier Bertrand assume les fonctions de porte-parole du candidat UMP, auquel la plupart des ministres ont apporté leur soutien.

Selon Le Figaro de mardi, le Premier ministre et le président Jacques Chirac ont demandé à la ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, de renoncer à accompagner mardi M. Sarkozy à Londres pour un déplacement en tant que candidat.

La gauche s'est indignée ces derniers jours du "mélange des genres" entre le ministre et le candidat Sarkozy, après la révélation de l'existence d'une fiche actualisée des Renseignements généraux sur un membre de l'équipe de Ségolène Royal.

2 février 2007

L’électorat populaire plébiscite Nicolas Sarkozy

Ump L’UMP se félicite de la dynamique de campagne qui s’est installée autour de son candidat, Nicolas Sarkozy. Son projet et les propositions qu’il fait aux Français rencontrent un impact important dans l’opinion. Les Français considèrent majoritairement qu’il est le candidat qui mène la campagne la plus solide. Il est jugé le plus crédible. A noter : Nicolas Sarkozy fait une percée auprès de l’électorat populaire, notamment parmi l’électorat ouvrier qui lui fait majoritairement confiance. 

Nicolas Sarkozy a tout à fait raison quand il dit que l’électorat populaire a été abandonné par la gauche et les 35 heures, oubliant les Français qui travaillent et qui se lèvent top ; et pour qui la valeur travail est si fondamentale qu’elle ne pouvait pas être bradée … Expliquer que la crise morale que traverse aujourd’hui notre pays est avant tout une crise de la valeur travail et que le pouvoir d’achat est trop bas parce que les salaires ne sont pas assez élevés sont deux constats très vivement ressentis dans l’électorat populaire. Nicolas Sarkozy formule des propositions extrêmement concrètes pour améliorer leur vie et donner plus de justice sociale. Que ce soit la défiscalisation des heures supplémentaires, la modulation des exonérations de charges sociales pour les entreprises en fonction de leur politique salariale, les mesures annoncées sur l’école, l’université, la formation, les  propositions de Nicolas Sarkozy font mouche dans l’opinion. Elles illustrent notre volonté de placer délibérément cette campagne présidentielle sur le terrain des idées.

L’UMP tient également à saluer la mobilisation militante sur le terrain. Les tracts de campagne commencent à être massivement distribués dans les départements. Les réunions publiques de Nicolas Sarkozy attirent à chaque fois des milliers de personnes.

2 février 2007

Deux nouveaux sondages donnent Nicolas Sarkozy gagnant aux élections présidentielles

Deux sondages viennent d'être publiés et donnent tous les deux Monsieur Nicolas Sarkozy gagnant aux élections présidentielles.

- Dans un sondage LH2 pour RMC, BFM TV et 20 Minutes réalisé les 26 et 27 janvier 2007, Nicolas Sarkozy l'emporterait contre Ségolène Royal au second tour de l'élection présidentielle le 6 mai par 51% contre 49%, tandis que François Bayrou obtiendrait 14% au premier tour de scrutin.

Selon l'enquête de LH2, le président de l'UMP arriverait en tête au premier tour, avec 31% des suffrages, devant Ségolène Royal, créditée de 29%.

François Bayrou serait troisième du premier tour, avec 14%, son plus haut niveau observé jusqu'ici dans un sondage. M. Bayrou avait été crédité mercredi de 13% par BVA et de 12% puis 12,5% par l'IFOP. Il devancerait Jean-Marie Le Pen, crédité de 10%.

C'est le quatrième sondage, de trois instituts différents (Ifop, BVA et LH2), qui place le président de l'UDF devant celui du Front national, Les trois autres instituts (Sofres, Ipsos et CSA) donnent l'ordre inverse.

Marie-George Buffet réunirait 5% des voix au premier tour.

Tous les autres feraient 2% maximum, dont un quintette composé d'Olivier Besancenot, Arlette Laguiller, José Bové, Dominique Voynet et Phlippe de Villiers, tous à égalité à 2%.

Corinne Lepage et Frédéric Nihous (CPNT) sont crédités de 0,5%.

Gérard Schivardi (soutenu par le Parti des Travailleurs) et Nicolas Dupont-Aignan, qui vient de quitter l'UMP, sont à 0%.

39% des personnes interrogées, inscrites sur les listes électorales et "certaines d'aller voter au premier tour" affirment avoir fait définitivement leur choix, 35% affirmant avoir une préférence marquée pour un candidat et 26% hésitant encore.

Pour le second tour, les chiffres sont respectivement de 58%, 23% et 17%. 2% ne se prononcent pas.

LH2 rappelle que ces résultats "révèlent un rapport de forces politique, aux dates de réalisation de l'étude, et pas un pronostic électoral".

Sondage réalisé par téléphone les 26 et 27 janvier auprès d'un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée consultable à la commission des sondages.

- Dans un sondage, Ipsos pour Le Point à paraître jeudi 1er février, Nicolas Sarkozy l'emporterait à 54% au second tour de l'élection présidentielle, face à la socialiste Ségolène Royal.
Interrogé sur ce sondage, le candidat de l'UMP a exprimé lundi soir sa satisfaction. "Oui ça s'explique, a-t-il dit, on fait une campagne sérieuse", a déclaré Nicolas Sarkozy, en marge d'une visite au Centre hospitalier René Dubos de Pontoise (Val d'Oise). "Ca prouve que le travail, ça paye. J'ai raison de faire campagne sur le thème du travail", a-t-il ajouté. Dans son enquête précédente des 5 et 6 janvier, Ipsos mettait Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal à égalité.

Au premier tour de scrutin, Nicolas Sarkozy arriverait en tête avec 32% des suffrages (-1). Ségolène Royal recueillerait 29% des voix (-3). Jean-Marie Le Pen est crédité de 13% (+1) et François Bayrou de 11% (+1). Suivraient Olivier Besancenot à 3,5% (+0,5) et Marie-George Buffet à 3,5% également (+0,5), puis Philippe de Villiers à 3% (+0,5). Arlette Laguiller recueillerait 2% (+0,5) ainsi que Dominique Voynet (+0,5). Frédéric Nihous (CPNT) fermerait la marche avec 1% (-0,5). 13% des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intention de vote pour le premier tour et 18% pour le second.

Sondage réalisé par téléphone les 19 et 20 janvier auprès d'un échantillon représentatif de 963 personnes âgées de 18 ans et plus, inscrites sur les listes électorales (méthode des quotas). Notice détaillée disponible à la commission des sondages.

2 février 2007

Déplacement de Monsieur Nicolas Sarkozy à Londres

Candidat_sarkozy_4 Nicolas Sarkozy a choisi la Grande-Bretagne et un déjeuner avec Tony Blair pour son premier voyage à l'étranger de candidat à l'élection présidentielle.

Bien qu'en fin de règne et vivement contesté en raison de la participation de la Grande-Bretagne à la guerre d'Irak aux côtés des Etats-Unis, le Premier ministre britannique reste en France une sorte de référence, honnie ou admirée.

L'an dernier, Ségolène Royal, qui n'était encore que candidate à l'investiture socialiste, avait choqué son propre camp en affichant un "blairisme" qu'elle ne renie pas.

Nicolas Sarkozy a pour sa part "la plus haute considération pour Tony Blair, pour son courage, sa capacité à réformer et à rebondir, pour sa vision", selon l'entourage du candidat UMP.

"Je trouve que ce qu'il a fait en Angleterre est assez remarquable, on est assez ami et je veux parler avec lui", explique Nicolas Sarkozy sur son site de campagne.

Selon son entourage, le président de l'UMP devrait évoquer ce mardi avec Tony Blair la situation internationale (Irak, Iran, Proche-Orient, environnement, etc) et les questions européennes.

"La question européenne est au centre de notre campagne. Nous voulons relancer le moteur européen et, dans ce cadre, aller à Londres est essentiel", a souligné lundi Valérie Pécresse, porte-parole de l'UMP.

Le ministre de l'Intérieur propose de faire ratifier par le Parlement français, dès cette année, un traité européen simplifié à la place de la Constitution rejetée le 29 mai 2005 par les Français, et par les Néerlandais. 

Après son entretien et son déjeuner avec Tony Blair, Nicolas Sarkozy, qui affirme vouloir réhabiliter la "valeur travail" en France, visitera un centre d'accueil de demandeurs d'emploi - "pour s'informer", précise son entourage.

Il visitera ensuite le musée Churchill et l'endroit d'où le général de Gaulle lança le 18 juin 1940 son appel à continuer la guerre contre l'Allemagne nazie et s'accordera une pause avec l'écrivain français Marc Lévy, installé à Londres.

Il achèvera le soir sa visite par un discours devant plus de 2.000 Français de Londres - un vrai "meeting" de campagne et une "première" affirme le candidat UMP sur son site web.

"J'ai envie de dire à ceux qui pensaient qu'on ne pouvait pas réussir en France, revenez parce qu'on aura besoin de vous, de votre talent, de votre énergie, de votre enthousiasme", explique Nicolas Sarkozy.

Ce déplacement à l'étranger est sans doute moins risqué politiquement que ceux de Ségolène Royal au Proche-Orient ou en Chine. Mais il n'est pas totalement sans risque pour l'image de Nicolas Sarkozy, estime le politologue Dominique Reynié.

"Blair est très fortement identifié à la crise irakienne et l'image d'une Grande-Bretagne communautariste a été montrée en contre-exemple", explique-t-il. "La France n'a pas tout à fait renoncé à sa vieille inimitié avec l'Angleterre et c'est quand même la 'petite Amérique' en Europe. Donc, ça peut réactiver le côté 'Sarkozy l'Américain' ou 'Sarkozy l'anglo-saxon'."

"Il fait une campagne réussie depuis le 14 janvier. Ségolène Royal est en difficulté à cause d'elle-même. Il y a une sorte d'échappée en solitaire de Sarkozy", ajoute-t-il. "Mais là, pour un bénéfice marginal, il court un risque. Parce que, en gros l'Angleterre et Tony Blair, pour les Français, c'est une forme de libéralisme."

Selon son entourage, Nicolas Sarkozy n'entend pas en rester là : il devrait rencontrer prochainement la chancelière allemande Angela Merkel et se rendre en Espagne et en Italie.

2 février 2007

Affaire RG : Le PS saisit le Conseil Constitutionnel

Dans une dépêche AFP, Jean-Marc Ayrault, président du groupe parlementaire P, a indiqué qu'il allait demander mardi à Jacques Chirac et Dominique de Villepin "de prendre leurs responsabilités" concernant Nicolas Sarkozy qui ne doit pas, a-t-il réaffirmé, rester à l'Intérieur, et a annoncé qu'il saisissait le Conseil constitutionnel.

Selon Monsieur Ayrault, "Nicolas Sarkozy n'est pas le garant de l'impartialité de l'Etat. Il ne doit pas continuer à être ministre de l'Intérieur, parce que c'est le ministre de la police, des renseignements, c'est lui qui donne des instructions aux préfets".

Interrogé sur la possibilité que Ségolène Royal soit placée sur écoutes, Jean-Marc Ayrault a répondu qu'il l'ignorait mais il "le craint". "Il ne faut pas que les Français se sentent piégés; Nicolas Sarkozy inquiète, fait peur et il y a des raisons".

"Avec mon collègue président de groupe du Sénat, Jean-Pierre Bel, nous allons saisir le Conseil constitutionnel et nous souhaitons aussi que le président de la République et le Premier ministre prennent leurs responsabilités", a-t-il ajouté.

Ce proche de Ségolène Royal a rappelé que son groupe avait déposé "une demande de commission d'enquête parlementaire sur l'action du ministère de l'Intérieur et des services de renseignements qui lui sont rattachés", à la suite de l'enquête des Renseignements généraux sur Bruno Rebelle, un conseiller de la candidate socialiste.

M. Ayrault a dénoncé une campagne destinée à "déstabiliser, décrédibiliser" Ségolène Royal. "C'est tellement démesuré que cela va finir par se retourner contre les auteurs", a-t-il dit.

Cela devient risible et grotesque de la part des socialistes. Maintenant ils prétendent affirmer, à demi mot et sans apporter la moindre preuve, que leur candidate serait placée sous écoute téléphonique.

Lorsqu'on prétend affirmer quelque chose, il faut en apporter les preuves. A défaut, cela s'appelle de la diffamation et de la délation. Les socialistes qui n'ont pas de programme présidentielle, qui voient leur candidate effectuer bourdes sur bourdes, qui constatent qu'un certain nombre d'adhérents, sympathisants et électeurs se détourner de leur candidate en préférant voter pour le candidat centriste, ont trouvé un terrain tout trouvé pour combler leur vide : taper sur Nicolas Sarkozy non pas sur son programme mais sur la prétendue utilisation des moyens de l'Etat à des fins électoralistes et faire croire qu'il est une graine de dictateur.

Monsieur Nicolas Sarkozy est suffisament intelligent pour ne pas utiliser les RG et mettre sur écoute la candidate socialiste et son entourage.

D'autre part, si il y avait le moindre réel commencement de preuve sur les prétendues assertions des socialistes, Monsieur Jacques Chirac, Président de la République et garant des institutions, aurait rappelé que les moyens de l'Etat ne doivent pas être utilisés à des fins partisanes et aurait exigé la démission immédiate de Ministre de l'Intérieur. Or, tel n'est pas le cas car il n'y a aucune preuve concernant les prétendues dires des socialistes.

En outre, les socialistes ont une amnésie puisqu'il me semblait que c'était l'un des leurs qui se trouvait à la tête de l'Etat, qui a utilisé les écoutes téléphoniques auprès des journalistes, acteurs et autres personnalités. Ils n'ont pas de donner de leçon.

Monsieur Nicolas Sarkozy a bien raison d'ignorer toute cette furie et ne pas répondre sur ce terrain aux attaques des socialistes.

D'autre part, les socialistes veulent saisir le Conseil Constitutionnel mais pour quoi faire ?

Les socialistes oublient que les attributions du Conseil Constitutionnel sont de vérifier la constitutionnalité des lois votées et le bon déroulement des votes et des scrutins lors des élections présidentielles et non pas de savoir si le Ministre de l'Intérieur aurait utilisé à des fins partisanes les RG ou aurait placé l'équipe de campagne sous écoute.

Les socialistes ne maitrisent plus cette campagne et les français, qui ne sont pas dupes concernant ces attaques infondées, risquent, au moment des scrutins, sanctionner lourdement leur candidate.

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